Crédit photo : Corinne LELEU - Berndsen et Hermigervill à Gamla Bio
#airwaves15 #berndsen #hermigervill
http://www.lesinrocks.com/2015/11/08/musique/on-y-est-iceland-airwaves-jours-3-4-11786350/
mardi 10 novembre 2015
Berndsen séduit les Inrocks !!!! #airwaves15
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mercredi 9 septembre 2015
Rencontre avec Steinunn Þórarinsdóttir
On revient toujours d’Islande avec des souvenirs indélébiles. La grandeur des paysages traversés s’imprime à jamais dans nos mémoires. On revient gorgé de l’énergie si spéciale de cette île. On retourne alors à son quotidien avec la sensation d’avoir vécu une expérience hors du temps et surtout l’impression d’avoir fait un voyage intérieur.
Parmi toutes les rencontres que j’ai vécues, il y a celle avec les statues de Steinunn Þórarinsdóttir.
Cela commence dès l'arrivée à l’aéroport de Keflavik. On aperçoit ces quatre figures humaines argentées se tenant dos à dos, étrangement juchées sur leur promontoire : c’est la première interpellation. D’autres rencontres se feront par hasard au détour du voyage. Qui n’est jamais passé et repassé devant le couple de bustes sur Bankastræti, devant l’église catholique de Reykjavik, sur la place devant le café Stofan ou encore face à l’océan à Vík, dans le sud de l’île ? Ma première rencontre avec les sculptures de Steinunn remonte à 2005, mon premier voyage en Islande. Les œuvres de Steinunn ont contribué à ce que j’appelle « mon voyage intérieur ». Systématiquement, je suis littéralement entrée en méditation devant chaque « figure humaine » se présentant au gré de mes visites. Chacune d’entre elles a fait écho en moi.
Ces sculptures sont devenues pour moi un emblème de cette terre. Il m’est alors paru évident lorsque je cherchais une photo de profil pour la fan page Iceland-Islande de choisir une œuvre emblématique de Steinunn. J’ai choisi la photo de profil en 2009. Je ne l’ai jamais changée depuis. Artiste de renommée internationale, Steinunn est connue pour ses gigantesques installations dans l’espace public. Ces figures humaines envahissent les parcs des villes du monde entier. L’interaction entre l’œuvre et le public fonctionne parfaitement. Steinunn a accepté de nous parler d’elle et de son œuvre.
Vous vous êtes réveillée un matin en vous disant : je veux être sculpteur ? Comment cette passion a-t-elle vu le jour ? "Lorsque je finissais mes études dans le vieux lycée du centre de Reykjavik, j’étais comme tous mes camarades. Je me demandais ce qui allait advenir de moi, ce que j’allais faire par la suite. J’ai toujours été intéressée par les arts visuels. Faire des études d’art était alors une évidence pour moi. Je suis alors partie en Angleterre pour suivre des cours d’initiation et je me suis familiarisée avec le dessin, la peinture, le graphisme… et un jour j’ai suivi un cours sur la céramique. Créer en 3D m’a immédiatement plu. Je me sentais très à l’aise ! Voilà comment j’ai découvert ma spécialité. Mon premier coup de foudre avec l’argile est né de cette liberté à faire ce que je voulais à partir de la matière première. Puis j’ai commencé à brûler l’argile d’après une méthode japonaise appelée RAKU. Il en ressort une belle couleur noire et organique qui me relie fortement à la nature islandaise. Depuis mes débuts je développe ce langage visuel entre les éléments. J’ai commencé par faire de petites figures humaines qui sont progressivement devenues plus grandes. Je suis une artiste figurative depuis toujours. Ma source d’inspiration principale est la condition humaine dans toute sa complexité. C’est pratiquement ma seule source de création, mais elle est vaste ! "
Les voyageurs qui visitent l’Islande deviennent très vite familiers avec vos sculptures visibles un peu partout. Pouvez-vous nous les expliquer ?
"Je préfère ne jamais forcer l’interprétation du public, donc mes figures sont souvent neutres et inexpressives. De cette manière, celui qui observe mon œuvre devient curieux et passe un moment privé avec mes sculptures. Un dialogue naît. Leur neutralité permet des possibilités d’interprétation plus nombreuses. Ces figures sont des êtres spirituels enfermés dans un corps ; du coup mon œuvre se veut être un questionnement sur l’âme et la spiritualité plutôt que sur le corps. Vos figures n’ont pas de bouches, pas d’oreilles. Comment cela se fait-il ? Comme je l’ai expliqué, mes figures ne sont pas réalistes. Sans oreilles et sans bouche, elles sont plus ouvertes au rêve et à la méditation. Elles ne sont pas vraiment de ce monde. Elles sont des instants figés de la contemplation. Peut-être s’agit-il d’un instant suspendu avant ou après que quelque-chose ne se passe. Je mets l’accent sur le calme et la tranquillité. Je préfère que mes sculptures chuchotent plutôt qu’elles ne crient. Elles sont androgynes, en ce sens elles représentent tout le monde et personne à la fois."
Vous réalisez vos sculptures en utilisant du bronze et de l’aluminium. Ces matériaux ont-ils une symbolique particulière ?
"J’ai toujours utilisé une grande variété de matériaux : l’argile, le plastique, le béton, le métal, le verre ou encore le bronze. Mes œuvres exposées dehors doivent être composées de façon à pouvoir résister aux conditions météorologiques parfois violentes de l’Islande ! "
Qu’est-ce qu’il vous manque lorsque vous n’êtes pas en Islande ?
"Lorsque je quitte l’Islande pour un moment, les grands espaces et la population réduite me manquent. Ces grandes étendues sont vitales pour respirer librement. Je tâche toujours de rester le plus possible en Islande durant l’été. J’ai une petite maison sur la côte sud où les nuits estivales sont superbes. Néanmoins j’aime voyager dans une ville comme New York, on peut disparaître dans la foule et être anonyme. C’est également le gage d’une certaine liberté. "
Corinne Leleu, traduction Lea Gestsdóttir Gayet
Vidéo Steinunn Þórarinsdóttir BORDERS Installation: an Interview with the Artist »
Parmi toutes les rencontres que j’ai vécues, il y a celle avec les statues de Steinunn Þórarinsdóttir.
Cela commence dès l'arrivée à l’aéroport de Keflavik. On aperçoit ces quatre figures humaines argentées se tenant dos à dos, étrangement juchées sur leur promontoire : c’est la première interpellation. D’autres rencontres se feront par hasard au détour du voyage. Qui n’est jamais passé et repassé devant le couple de bustes sur Bankastræti, devant l’église catholique de Reykjavik, sur la place devant le café Stofan ou encore face à l’océan à Vík, dans le sud de l’île ? Ma première rencontre avec les sculptures de Steinunn remonte à 2005, mon premier voyage en Islande. Les œuvres de Steinunn ont contribué à ce que j’appelle « mon voyage intérieur ». Systématiquement, je suis littéralement entrée en méditation devant chaque « figure humaine » se présentant au gré de mes visites. Chacune d’entre elles a fait écho en moi.
Ces sculptures sont devenues pour moi un emblème de cette terre. Il m’est alors paru évident lorsque je cherchais une photo de profil pour la fan page Iceland-Islande de choisir une œuvre emblématique de Steinunn. J’ai choisi la photo de profil en 2009. Je ne l’ai jamais changée depuis. Artiste de renommée internationale, Steinunn est connue pour ses gigantesques installations dans l’espace public. Ces figures humaines envahissent les parcs des villes du monde entier. L’interaction entre l’œuvre et le public fonctionne parfaitement. Steinunn a accepté de nous parler d’elle et de son œuvre.
Vous vous êtes réveillée un matin en vous disant : je veux être sculpteur ? Comment cette passion a-t-elle vu le jour ? "Lorsque je finissais mes études dans le vieux lycée du centre de Reykjavik, j’étais comme tous mes camarades. Je me demandais ce qui allait advenir de moi, ce que j’allais faire par la suite. J’ai toujours été intéressée par les arts visuels. Faire des études d’art était alors une évidence pour moi. Je suis alors partie en Angleterre pour suivre des cours d’initiation et je me suis familiarisée avec le dessin, la peinture, le graphisme… et un jour j’ai suivi un cours sur la céramique. Créer en 3D m’a immédiatement plu. Je me sentais très à l’aise ! Voilà comment j’ai découvert ma spécialité. Mon premier coup de foudre avec l’argile est né de cette liberté à faire ce que je voulais à partir de la matière première. Puis j’ai commencé à brûler l’argile d’après une méthode japonaise appelée RAKU. Il en ressort une belle couleur noire et organique qui me relie fortement à la nature islandaise. Depuis mes débuts je développe ce langage visuel entre les éléments. J’ai commencé par faire de petites figures humaines qui sont progressivement devenues plus grandes. Je suis une artiste figurative depuis toujours. Ma source d’inspiration principale est la condition humaine dans toute sa complexité. C’est pratiquement ma seule source de création, mais elle est vaste ! "
Les voyageurs qui visitent l’Islande deviennent très vite familiers avec vos sculptures visibles un peu partout. Pouvez-vous nous les expliquer ?
"Je préfère ne jamais forcer l’interprétation du public, donc mes figures sont souvent neutres et inexpressives. De cette manière, celui qui observe mon œuvre devient curieux et passe un moment privé avec mes sculptures. Un dialogue naît. Leur neutralité permet des possibilités d’interprétation plus nombreuses. Ces figures sont des êtres spirituels enfermés dans un corps ; du coup mon œuvre se veut être un questionnement sur l’âme et la spiritualité plutôt que sur le corps. Vos figures n’ont pas de bouches, pas d’oreilles. Comment cela se fait-il ? Comme je l’ai expliqué, mes figures ne sont pas réalistes. Sans oreilles et sans bouche, elles sont plus ouvertes au rêve et à la méditation. Elles ne sont pas vraiment de ce monde. Elles sont des instants figés de la contemplation. Peut-être s’agit-il d’un instant suspendu avant ou après que quelque-chose ne se passe. Je mets l’accent sur le calme et la tranquillité. Je préfère que mes sculptures chuchotent plutôt qu’elles ne crient. Elles sont androgynes, en ce sens elles représentent tout le monde et personne à la fois."
Vous réalisez vos sculptures en utilisant du bronze et de l’aluminium. Ces matériaux ont-ils une symbolique particulière ?
"J’ai toujours utilisé une grande variété de matériaux : l’argile, le plastique, le béton, le métal, le verre ou encore le bronze. Mes œuvres exposées dehors doivent être composées de façon à pouvoir résister aux conditions météorologiques parfois violentes de l’Islande ! "
Qu’est-ce qu’il vous manque lorsque vous n’êtes pas en Islande ?
"Lorsque je quitte l’Islande pour un moment, les grands espaces et la population réduite me manquent. Ces grandes étendues sont vitales pour respirer librement. Je tâche toujours de rester le plus possible en Islande durant l’été. J’ai une petite maison sur la côte sud où les nuits estivales sont superbes. Néanmoins j’aime voyager dans une ville comme New York, on peut disparaître dans la foule et être anonyme. C’est également le gage d’une certaine liberté. "
Corinne Leleu, traduction Lea Gestsdóttir Gayet
Vidéo Steinunn Þórarinsdóttir BORDERS Installation: an Interview with the Artist »
mercredi 22 juillet 2015
mardi 21 juillet 2015
lundi 20 juillet 2015
Le Pourquoi Pas édition 2015 est sorti et disponible gratuitement en Islande !
Le Pourquoi Pas print issue n°4 July is out and free around Iceland http://t.co/Yr18v6kWVF pic.twitter.com/aQu3bfNvR0
— iceland_islande (@iceland_islande) 20 Juillet 2015vendredi 10 juillet 2015
L'édition n°4 du journal francophone le Pourquoi Pas diffusé en Islande.
Ca y est ! L'édition n°4 du Journal Le Pourquoi Pas commence à être diffusé sur le sol islandais ! Cette année pour la...
Posted by Iceland-Islande on vendredi 10 juillet 2015
vendredi 29 mai 2015
mardi 19 mai 2015
mercredi 29 avril 2015
lundi 30 mars 2015
Interview de Iceland Islande sur ROK Músík
Iceland – Islande : The French Connection. http://t.co/Rj4y87OG3Q
— ROK Músík (@rokmusikiceland) 30 Mars 2015
Transcription en Français de ma rencontre avec Win Van Hooste de ROK Magazine
WVH :"Qui êtes-vous?"
Je suis quinqua et je travaille dans le Marketing Digital chez un opérateur télécom en France.
WVH : "Corinne, depuis quand êtes-vous passionnée par cette "petite île perdue au milieu de l’Atlantique Nord”?
Ma première rencontre avec l’Islande date de 1989. Je séjournais alors à New York et j’entendais partout en fond sonore une chanson qui m’a littéralement envoutée “Birthday” des Sugarcubes, je venais de découvrir la voix de celle qui allait devenir Björk . J’ai acheté l’album aux states, en lisant les crédits j’ai découvert que ce groupe venait d’une petite île perdue au milieu de l’Atlantique Nord qui s'appelait Islande . A peine rentrée en France je me suis précipitée sur mon Atlas papier ( pas d’internet à l’époque ) … je ne savais pas encore que l’Islande allait m’occuper l’esprit pendant de nombreuses années avant le premier pas posé sur cette terre. Je vous recommande de regarder le clip vidéo qui me fait penser que Bjork a vraiment été de loin “la meilleure ambassadrice” de l’Islande :-) https://www.youtube.com/watch?v=BFQPNApwJGU
WVH : " Le premier vrai contact avec l’Islande et la musique islandaise c'était…? "
Mon premier voyage date de 2005 . Ce fut un véritable cataclysme dans ma vie. Je découvrais en 3D tous les paysages vus dans les clip de Bjork ou encore de Sigur Ros . J’étais alors chargée d’une nouvelle énergie , le tellurisme de cette petite île perdue au milieu de l’Atlantique Nord. J’ai vraiment eu du mal à me remettre de ce voyage. Je suis rentrée avec une bonne 20 de CD de musique islandaise , j’ai dévalisé le magasin 12Tonar et j’ai commençé à me passionner pour la scène musicale islandaise. J’ai commencé à aller en Islande au moins une fois par an dès 2009 pour le Iceland Airwaves Festival … un alibi de choix ! Puis d’années en année la fréquence a augmenté pour sur les 2 dernières années être de l’ordre de 3 à 4 fois/an. J’ai ajouté le Sonar Reykjavik à mon palmarès et cette année je vais aller pour la première au Secret Solstice Festival. Sigur Ros https://www.youtube.com/watch?v=lwQmDvuORY0 Live Report #airwaves13 sur le Journal Le Pourquoi Pas : http://www.lepourquoipas.is/2013/live-report-jeudi-31-octobre-2013-airwaves13/ http://issuu.com/lppreykjavik/docs/lpp2013 page 6 Itw sur la musique en islande
WVH : "Vos musiciens favorites? Et pourquoi?
Sur les 5 dernières années mes coup de coeur sont Retro Stefson , Mammut , Samaris, Biggi Hilmars , Berndsen et surtout un artiste que j’ai eu l’occasion de rencontrer plusieurs fois et qui est devenu un ami aujourd’hui, Hermigervill . L’ayant vu et revu plusieurs fois en concert aussi bien en France qu’en Islande j’ai eu envie de faire un reportage sur lui pendant le Airwaves 2014 c’est un artiste passionnant, dôté d’une intelligence et d’une gentillesse incroyable , très professionnel il manie aussi l’ humour et parle très très bien le français . Les 2 premières vidéos de mes reportages sont en ligne sur you tube ( sous titrées en anglais) https://www.youtube.com/watch?v=mFD18I4oISc https://www.facebook.com/photo.php?fbid=726950637336983&set=a.102210476477672.5390.100000661597259&type=3&theater
WVH : "Votre chanson et votre album favorisés?"
Une question difficile car on a tendance à avoir des chansons préférées du moment qui correspondent à nos états intérieurs . Mais si je me pose vraiment la question … s’il n’en reste qu’une ce sera Jóga de Björk , mise en valeur par le superbe clip vidéo de Michael Gondry , c’est vraiment là que je suis littéralement tombée amoureuse de cette ile sauvage et surprenante. Mon souhait le plus fort était alors de fouler de mes pieds cette plage de sable noire, lorsque j’ai réalisé mon rêve j’ai senti un fort attachement à l’Islande. J’avais trouvé l’endroit pour me ressourcer. https://www.youtube.com/watch?v=2BSMcVRgloY
WVH : "Le meilleur concert? En Islande et en France… "
Mon meilleur concert en Islande c’est la résidence “Biophilia” à Harpa en 2011. La boucle était bouclée , c’était le plus beau des cadeaux que je pouvais me faire : voir Bjork chanter sur sa terre natale, j’étais à Reykjavik et Bjork chantait devant moi … dans une toute petite salle . En France j’ai vu bien sûr tous les groupes ou chanteurs islandais programmés , mais s’il n’en reste qu’un c’est la performance de Retro Stefson à l’Espace B à Paris en 2013. Parce que quand même arriver à faire sauter et bouger le public parisien c’est un vrai challenge qu’ils ont su relever. C’est là aussi que j’ai découvert Hermigervill … dans la salle il y avait quelques islandais , et j’ai vraiment été surprise par le fait qu’ils chantaient à tue tête sur une musique … sans paroles ! Ma curiosité était piquée au vif et je voulais percer “le mystère Hermigervill”. https://www.facebook.com/photo.php?fbid=669856046379776&set=a.669855343046513.1073741827.100000661597259&type=3&theater
WVH : "Où est votre lieu/endroit/panorama préféré situé? Autre choses islandaises que vous aimez ? "
Quand je suis en islande j’aime aussi beaucoup me baigner dans les hot pot ou les piscines thermales. J’ai un petit faible pour les bains naturels de Jarðböðin près de Myvatn et lorsque je suis à Reykjavik j’aime nager à Árbæjarlaug . Cette piscine municipale est un peu excentrée mais la vue sur la ville est imprenable ! Bien évidemment j’aime le Skyr , j’ai d’ailleurs organisé pendant la 5ème edition du Festival Air d’Islande , la première SKYR Party en France … l’occasion pour les Festivaliers de déguster la principale madeleine de Proust islandaise , j’aimerai bien d’ailleurs organiser la seconde SKYR PARTY en 2015 ce serait vraiment chouette ! :-) Il y a une montagne qui m’inspire beaucoup en Islande , ce n’est pas la plus belle mais c’est celle que j’aime , je la dessine beaucoup par tous les temps c’est Esja. “Esja, mon Amour “ c’est le nom de code de mon projet d’exposition de croquis, dessins ou peintures que j’aimerai faire naître dans les prochaines années … One Day !
WVH : "Vous êtes la Présidente du Collectif ‘Iceland Islande’, un communauté pour les islandophiles francophones…? Pouvez-vous nous donner une petite introduction … ?"
Oui la fan page existe depuis 2009 . Née conjointement du besoin de partager ma passion et de trouver aussi un “laboratoire de test “ pour mon métier dans le Digital Marketing. Au fil du temps des relations se sont tissées dans la vie réelle avec d’autres passionnés d’Islande ou encore avec des français installés là-bas que je ne manque pas de saluer à chacun de mes voyages . On a commencé à agir collectivement. Historiquement je me suis très vite rapprochée des fondatrices du Journal Le Pourquoi Pas et de l’association France Islande et d’ Air d’Islande … ensemble on trouve des synergies , on est tous différents mais on a la même passion , on est complémentaires .
WVH : " L’Islande une destination populaire aujourd’hui en France?"
Oui il y a un engouement pour les français pour la destination Islande . C’est juste à 3 heures de Paris et plusieurs compagnie déservent la destination dont 2 compagnies low cost. Je crois que les français sont n° 4 des touristes . Aujourd’hui au Collectif nous recevons chaque jour des demandes d’informations, d’aide ou de conseils de la part de personnes qui préparent leur voyage en islande. On s’efforce de partager avec eux nos visions, quelques conseils judicieux et des bons plans.
WVH : "Qu’est-ce que vous peut me raconter du festival ‘Air d’Islande’ à Paris chaque année? "
Le Festival Air d’islande est un vrai défricheur de talents islandais en France … l’évenement incontournable de l’année ! cf Interview de Ari Allansson pour le journal “le Pourquoi Pas” : http://www.lepourquoipas.is/2014/le-festival-air-dislande-un-defricheur-annuel-de-talents/
WVH : "Les derniers mots… (votre future, vos rêves, …) Nouveautés peut-être… "
J’aimerai beaucoup réaliser un reportage vidéo sur mon artiste fétiche Steinunn Thorarinsdottir . En effet je lui ai emprunté mon avatar de profil Facebook , je n’en ai jamais changé depuis 2009. Un symbole. J’ai eu l’occasion de la rencontrer à Reykjavik en 2013 et là j’aimerais partager ma passion pour elle et faire connaître son oeuvre au public français. Elle n’a jamais exposé en France c’est dommage. http://www.steinunnth.com/images/u2543.jpg https://www.facebook.com/photo.php?fbid=669856389713075&set=a.669855343046513.1073741827.100000661597259&type=3&theater
jeudi 5 mars 2015
l'Islande en hiver - Nord de l'islande
L'Islande, entre rêve et realité from Alice Herbin on Vimeo.
Chacun d'entre nous a un rêve de gosse. Une envie qui reste, un vœu à réaliser, une aventure dans laquelle se lancer. Je suis passionnée de voyage et l'un de mes rêves, - partagé avec une amie -, était de partir à la découverte de l'Islande. En février dernier, nous nous sommes lancées dans un road trip de 3 semaines. Pendant notre tour de l'Islande, nous avons pu entrevoir un pays passionnant. Au-delà des mots, voici un extrait en images de souvenirs inoubliables... Les superbes images ont été réalisées par Holori Gravierjeudi 29 janvier 2015
Bien préparer son Voyage en Islande : infos.islande@gmail.com
#islande2015 Préparer un Voyage en Islande - Conseils et Infos : infos.islande@gmail.com ... http://t.co/RAoz7HEIj5
— iceland_islande (@iceland_islande) 29 Janvier 2015mercredi 28 janvier 2015
Voyage en Islande - Conseils et Infos : infos.islande@gmail.com
Depuis le début de l'année je reçois pas mal de messages privés me demandant des conseils ou des bons plans pour un futur Voyage en Islande . Oui c'est la pleine période de préparation des vacances d'été, un voyage en Islande demande encore PLUS de préparations ...
Cela me donne une idée, si vous avez besoin d'aide , de conseils posez vos questions au Collectif Iceland Islande à cette adresse infos.islande@gmail.com
Nous répondrons à toutes vos demandes ... même les plus farfelues ! J'ai envie de dire : "surtout les plus farfelues ! et surtout les moutons (islandais) à 5 pattes !
mardi 20 janvier 2015
Bjork annonce la sortie de son album Vulnicura avec 2 mois d'avance sur le planning initial .
Le 14 janvier dernier Björk annonçait la sortie en mars 2015 de son nouvel album "Vulnicura".
Quelques jours plus tard : l'album avait fuité sur Internet et se téléchargeait en écoute illégale.
Réponse instantanée de l'Islandaise la plus célèbre de tout l'univers connu et inconnu : elle annonce aujourd'hui la sortie officielle de son album avec 2 mois d'avance sur le planning initial. "Vulnicura, c'est avant tout l'histoire d'une rupture. Avant, pendant, après. Respectant la "chronologie émotionnelle", on passe, de titre en titre, de l'espoir, au désespoir, à la colère. Des chansons très personnelles, puisqu'elles racontent la séparation de la chanteuse avec l'artiste américain Matthew Barney, avec qui elle a eu en 2002 une fille, Isadora. "J'espère que ces chansons seront une aide, une béquille, pour d'autres personnes et qu'elles montreront que la rupture est un processus biologique, une blessure physique et psychologique qui cicatrise. Ça prend du temps, mais ça finit par passer", explique-t-elle sur Facebook. En fait, Vulnicura est un peu la suite malheureuse de Vespertine (sorti en 2001), un album enregistré peu après sa rencontre avec Matthew Barney, dans lequel elle raconte cette période d'euphorie amoureuse. " source lepoint.fr
mardi 13 janvier 2015
HERMIGERVILL - #épisode 2 : La Préparation du matériel - Airwaves14
HERMIGERVILL - Airwaves14 - #épisode 2 : La Préparation du matériel from Iceland Islande on Vimeo.
Le Collectif Iceland Islande a rencontré HERMIGERVILL à l'occasion du Festival Iceland Airwaves 2014. Dans ce second épisode Hermigervill nous reçoit chez lui et présente comment il s'organise pour préparer son matériel en vue des sets live. L'interview a été réalisée entièrement en français ... et sans aucun trucage, ni doublage ! Oui Hermigervill aime la langue de Molière ... et la Bière Belge une fois
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